mardi 31 mai 2016

Une nouvelle pépite : la naissance d'une bande-annonce

Ma première bande-annonce
Je travaille depuis le début de l'année sur ce projet, c'est la mission que l'on m'a confié en début d'année et à laquelle je consacre du temps : je suis chargée de créer la bande-annonce pour la pièce de théâtre du lycée. 
On passe beaucoup de temps à tourner les bonnes scènes qu'il faut pour que la bande-annonce soit parfaite. Je me souviens avoir dû tourner plusieurs fois la même scène, afin d'arriver à un résultat convenable pour tout le monde. La scène de l'escalier, par exemple, cette scène fait référence au dieu Dionysos qui monte les marches d'un escalier. Nous devons filmer Sacha, encore et encore, car il y a toujours quelque chose qui ne va pas. A chaque fois, elle doit remettre les bottes qu'elle vient juste d'enlever.
Au bout de quelques séances, à force de tourner, encore et encore, la bande-annonce est enfin achevée. Enfin presque, nous avons toutes les vidéos mais il ne manque plus qu'à tout assembler et n'en faire qu'un film. Évidemment, nous ne pouvons pas faire le montage de la vidéo au lycée car le logiciel de montage est incompréhensible, selon nous, alors Océane se propose de faire le montage vidéo chez elle et de le ramener la semaine suivante. 
En effet, ce mardi, elle ramène une clé USB avec, dedans, la bande-annonce, je l'espère. Elle m'affirme que, oui, la bande-annonce est sur cette clé, elle n'a plus qu'à la rentrer dans l'ordinateur et on peut enfin la voir. 
Un tas de sentiments m'envahissent, tous plus courts les uns que les autres, tous plus beaux les uns que les autres. Je suis excitée de voir enfin le fruit de mon travail d'une année, je suis nerveuse, j'ai peur quelle ne plaise pas au public. « Et si madame Grégoire n'aime pas ? Et si on doit la refaire parce qu'elle n'aime pas ? ». Je suis heureuse que mon groupe et moi montrions enfin la bande-annonce que nous avons créée de nous-mêmes. Même si je ne l'ai pas encore vue, je suis déjà fière de moi. Avant je me disais « Une bande-annonce, c'est bien trop dur à faire, il faut la filmer, il faut faire le montage, rajouter la musique de fond, je ne vais jamais y arriver. ». Et, en fait, si, c'est plutôt facile et très enrichissant.  
Je suis tellement pressée de la voir, mais, à ce moment précis, au début de la bande-annonce, le son ne sort pas. Quelle catastrophe ! Je demande à Océane ce qui se passe, elle ne comprend pas, moi non plus, personne.
Nous cherchons une solution au problème, j'entends une voix dire qu'on pourrait utiliser l'ordinateur de la professeure, que ça ne peut que marcher, vu que l'ordinateur a une sortie son. On branche la clé USB sur l'ordinateur, les écouteurs sur la sortie son, et c'est parti. 
Le coude gauche posé sur la tour d'ordinateur, debout, les jambes croisées, un écouteur dans l'oreille, tandis que Sacha a le deuxième, Océane lance la vidéo, je ne m'y attends pas, je sursaute. Je la regarde, les yeux grand ouverts, attentive à ce qui se passe dans la bande-annonce, et je me dis que c'est notre travail rien qu'à nous.
A la fin, je suis vraiment fière de nous, la bande-annonce est vraiment bien. Nous appelons madame Grégoire pour qu'elle la voie à son tour. Elle s’assied sur la chaise, met les deux écouteurs dans ses oreilles, augmente le son au maximum. Elle sourit en la voyant, je me dis qu'elle doit la trouver bien. C'est le cas, quand elle enlève les écouteurs, elle nous félicite et nous dit que la bande-annonce est vraiment bien. Elle fait même quelque chose qui me fait très plaisir, elle regarde la bande-annonce une seconde fois.

  Tous ces instants passés à filmer, rigoler, des moments de stress parfois, étaient précieux. Je ne regrette absolument pas d'avoir choisi l'option arts du spectacle, cela m'a permis de faire une chose que j'aime : filmer.
E, CAA1

lundi 30 mai 2016

Une rouge pépite, comme les red curtains...

Red Curtains
Cette sensation de déjà vu, ce sentiment de manque, cette euphorie. 
L'absence d'esprit, partir ailleurs, se retrouver.
Le théâtre, ou plutôt non, l'atmosphère de cette salle où toutes et tous nous nous retrouvions, tant pour jouer, se mettre dans la peau d'une autre personne tout en ayant la certitude d'être soi-même. Simplement être vue différemment, avoir une autre vie, d'autres pensées. Ou tout simplement pour observer, espionner, apprécier un art qui nous subjugue, qui nous transporte, nous emmène toujours plus loin ! 
Voilà. Voilà ce que j'ai ressenti. Ce qui s'est passé dans ma tête à l'instant où, un an après, j'ai franchi de nouveau le seuil du théâtre du Marais.
Ces couleurs familières : le rouge, le noir. Mais surtout les sièges, la scène. Cette scène où je me sentais si bien, plus grande, plus mature. Et encore et toujours ces satanés rideaux rouges, représentant si symboliquement cette période de ma vie.
Voilà un an que je suis dans cette option et un an que je vis différents types de souvenirs. Ce sentiment est le premier qui m'est revenu à l'esprit, parmi tant d'autres, et peut-être bien celui qui restera sur cette feuille.
C.D, CAA1

dimanche 29 mai 2016

La pépite de Marilou, le tout premier jour...

STRESS ET FOU RIRE
Premier cours  de CAA, je regarde partout, je ne connais personne à part Sacha. Mme Grégoire nous demande de mettre les tables en cercle, je me dis « oh la la !, mais qu’est-ce qu’on va faire ?! et puis, d’abord, CAA c’est quoi… ? ». On nous demande une à une de nous présenter… Oh non… Je déteste parler en public, comment je vais faire pour parler devant toutes ces inconnues qui pour moi ont toutes le même visage tellement je suis perdue et stressée. Tout à coup, c’est à moi de parler, ma gorge se serre, je respire un  grand coup et c’est parti, je me présente. Finalement tout se passe bien, jusqu'à ce que je tourne la tête vers Sacha et qu’on se mette à avoir un fou rire un peu nerveux. J’essaye de me retenir mais je n’y arrive pas, je respire un bon coup et mon calme revient petit à petit… La honte ! Finalement, tout le monde passe et la professeure prend la parole, elle nous explique ce que nous allons faire au long de l’année et je me réjouis d’avance de découvrir toutes les surprises que ce cours me réserve…
Guilbaud Marilou CAA1

samedi 28 mai 2016

La pépite de Marion, souvenir de Générale



Enfin !
1er Avril 2016, départ pour le théâtre du Marais, une semaine que j'appréhende ce moment. Après avoir étudié cette pièce de théâtre et réalisé les programmes des représentations, je m'apprête à voir le fameux spectacle Dionysos Circus, d'après l’œuvre d'Euripide, interprété par les élèves du groupe théâtre du lycée François-Truffaut.
J'arrive au théâtre du Marais et cherche une place au milieu de la salle, par habitude, cependant je me retrouve placée au tout premier rang à gauche, face à la scène. A ce moment-là, je me suis demandée ce que je faisais là. Après que tout le monde se soit assis, Madame Grégoire, légèrement tendue et émue, nous fait un petit discours de remerciements et, enfin, les lumières s'éteignent. C'est parti ! J'avoue qu'à ce moment j'ai eu l'impression d'être au cinéma, ce qui explique la peur que j'ai eu lorsque les comédiens sont arrivés derrière moi…
Durant cette pièce, j'ai été subjuguée par le jeu des comédiens, par tout le travail effectué en un an et par l'émotion constante ressentie et exprimée par les acteurs. Ce jour-là, j'ai littéralement pris une claque ! Cela peut vous paraître excessif mais c'est vrai. A la fin de la pièce je n'ai eu qu'une envie, c'était de la revoir. Malheureusement toute chose a une fin et j'avoue que, celle-ci, je n'avais pas grande envie qu'elle finisse. Cette représentation a été pour moi une belle façon de clore une année de travail bien remplie.
James Marion, CAA2

vendredi 27 mai 2016

La pépite de Leslie... Magique !

Capture d'une étincelle
Je sors des sciences-physiques la tête encore pleine de formules compliquées et de définitions pointues. Le cerveau retourné, j'ouvre la porte de cette salle de cours et, là, entre les tables, les ordinateurs, les personnes qui parlent et les grandes fenêtres éclairées du soleil timide, presque inexistant de ce mois de janvier, mes idées s'envolent, mon crâne se décharge de tous ses problèmes et de son ambiance chaotique pour laisser place à l'atmosphère heureuse, légère et chaleureuse de ce cours de CAA où même le travail n’est pas corvée et semble être amusement malgré son importance. La professeure nous donne les consignes puis se dirige vers nous, le groupe « photos » pour nous remettre les clefs du costumier. Nous descendons, toutes les quatre, les escaliers pour nous rendre dans cette mystérieuse salle. Un brin de curiosité flotte. Arrivées devant la salle, nous ouvrons cette lourde porte bleue qui nous délivre, dans son odeur de renfermé et de poussière, mille costumes, câbles, accessoires qui renferment tous une petite étincelle de la magie d'un moment vécu, d'un spectacle, d'une histoire. Et c'est, dans cette petite salle, dissimulée dans ce lycée, parmi toutes les autres, cette petite salle aux allures insignifiantes, que commence l'aventure dont je fais partie, celle qui contribue à la naissance d'une nouvelle histoire, celle qui, en une image, capture l'ensemble du spectacle, ralliant tous les points essentiels afin de donner envie aux spectateurs d'assister à la scène, pour que, aussi, cette petite salle et ce qu'elle enferme aient une seconde vie et une énième page fabuleuse pour remplir l'immense livre de cette histoire formidable renfermant à son tour un petit bout de la magie du théâtre.
Leslie Dubois, groupe photos, CAA2

jeudi 26 mai 2016

La der des der de Dionysos Circus, c'est pour demain !

Réservée en priorité aux jeunes comédiens du Printemps théâtral des Collèges, cette séance sera également ouverte à celles et ceux qui n'ont pu assister aux autres représentations. A demain donc :

Dionysos Circus - Forum du lycée François-Truffaut
Vendredi 27 avril
21h30 - Participation libre

Nouvelle pépite, comme les pâquerettes de mon jardin

Who you
En une seconde, mon monde a changé. Je traverse cette porte qui me paraît immense et effrayante. Tellement effrayante que je vois des ''monstres'' sortir de celle-ci. Mais pas que, si je regarde bien, l’intérieur de la pièce, par le trou de serrure, je vois des pâquerettes qui donnent un côté magnifique à cette porte effrayante. Cette porte est le passage dans un nouveau monde. La pièce cachée par cette porte est-elle belle ou moche ?? Je veux tellement découvrir son côté caché, pour satisfaire ma curiosité. Il m'a fallu une seconde pour traverser les yeux grands ouverts cette porte. Le temps me paraît rapide mais lent à la fois. Mon passage passe d'une seconde à des milliards de secondes. Le monde qui me fait peur est magnifique tout en étant instable. Pour me rassurer, j'imagine que la classe s'envole dans les nuages blanc gris. Pourquoi ?? Tout simplement car les nuages apaisent, en tous cas ils m'apaisent. Quand je regarde la prof, en une fraction de seconde, je l'imagine comme une héroïne de manga. Sa voix, à la fois rassurante et imposante, sans oublier son allure assortie avec ses cheveux dorés. Les filles qui sont à côté de moi me font tellement peur que je les vois comme les feuilles d'un arbre. Les feuilles, malgré leur stabilité, tombent un jour, elles changent de couleur en fonction des saisons qui leur font face, puis le vent qui est soit violent, soit doux. Les humains sont pareils. Je suis pareille, d'où le fait que la peur m'envahit en une seconde. Mais en une seconde le sourire de quelques personnes me fait chaud au cœur. Mon cœur qui est glacial face aux autres va-t-il se réchauffer en même temps que les saisons changent ?? Je ne sais pas, mais je sais une chose, c'est qu'en une seconde mon cœur se crispe et je sens sur ma joue une larme. Pour me détendre je me remémore une chanson, ''Who You ?'' de G-Dragon. Et en une seconde je me calme. La professeure prononce mon nom dans la salle, ça y est ! C'est mon tour !! Je dois parler, mais que dire ? Mes mots ne sortent pas de ma bouche. Mince, ma timidité m'a prise au dépourvu. Que faire ? En une seconde je lance le premier mot, comme ça. Je dis trois mots et plus rien. Les minutes qui suivent ce ''cauchemar'' sont troublantes, et  en une seconde mon calme revient. Je me pose une question ''Ai-je bien choisi mon option ??'' Aurai-je une seconde de bonheur dans cette option ?? Le bonheur de ma seconde, je ne le cherche pas, ni ne le poursuis, mais il a poussé et fleuri comme les pâquerettes de mon jardin.
Milkiky, CAA1

mercredi 25 mai 2016

Le cadeau de Françoise : montage photos de Dionysos Circus

C'est presque devenu une tradition, mais on ne s'en lasse pas... Et on ne se lasse pas de la justesse, de la beauté, de la puissance de ses photos. Merci à Françoise (par ailleurs professeure de philo au lycée)... Voici donc quelques clichés - et quels clichés ! - pris lors de la représentation de samedi de Dionysos Circus. Y'a pas à dire, des souvenirs comme ça....

La pépite de Laura, plein de suspense !

TROUBLE MAGIQUE

    Et voilà ! Depuis plusieurs semaines  on  parle de cette partie de la mission… Et maintenant, le moment est venu… Notre travail se joue maintenant. Mais pas seulement notre travail, celui de tout le monde. Le travail des deux groupes de CAA est entre nos mains. Le but est d’organiser une conférence de presse afin d’informer le public des représentations. Pour cela je me dirige à l’accueil, accompagnée des autres membres du groupe. On y est… Nous regardons avec quoi nous pourrions téléphoner. Nos regards se fixent alors au fond de la pièce, dans un petit coin sombre, on le voit toutes... Ce téléphone, ce téléphone qui date de l’antiquité, ça nous fait sourire, de voir ce vieux téléphone, là, tout seul, à attendre, comme désespéré que quelqu’un vienne le décrocher.
    Une femme nous explique ce que nous devons dire. Je retiens tout, tout par cœur pour ne rien oublier. C’est facile pour moi le théâtre, je me cache derrière le masque des personnages que j’ai à interpréter. Mais là… C’est bel et bien moi et moi seule qui dois parler. Pas de masque, juste un téléphone entre l’interlocuteur et moi…
    Alors, je fonce. Je sais que, si j’attends trop, le stress va monter et alors je ne décrocherai jamais le téléphone. Je prends mon courage à deux mains,  je décroche le téléphone et je compose les trois 0 sans réfléchir. Dans le téléphone le BIP incessant retentit encore et encore. J’ai envie de rire à cause du stress. J’hésite à raccrocher quand j’entends une voix. Je ne comprends pas ce qu’elle dit. Comme si elle parlait dans une langue étrangère, je me concentre du mieux que je peux sans jamais comprendre. Puis j’entends qu’elle s’arrête, alors je me présente. Mais, au bout d'un moment.... je me rends compte que ce n’était pas une voix qui parlait mais seulement une musique, qui retentit encore, que je croyais avoir entendu s'arrêter, seulement parce que je voulais raccrocher ce téléphone le plus vite possible, « être débarrassée » comme on dit. Enfin, cette fois, une véritable voix. Celle d’une fille qui retentit au téléphone, je dis alors tout ce qu’on m’a dit de dire. Après quelques minutes, quelques erreurs et quelques bafouillages, je raccroche enfin le téléphone que j’avais tant envie de raccrocher quelques secondes plus tôt. Je suis fière, c’est l’aboutissement de ma mission et de toutes ces semaines. Alors, avant de partir définitivement, je regarde à nouveau ce vieux téléphone raccroché, puis j’ai une soudaine envie de tout recommencer.
Laura Gressani, CAA1

mardi 24 mai 2016

La pépite de Cassie : tout un monde...

Voici donc la pépite de Cassie, comédienne de l'option, en terminale cette année. Qu'en dire ? Rien. On est sans voix...
INSTANT(S)
    Une page blanche s’étale sous mes yeux. D'un blanc immaculé et désespérant. Voilà déjà deux ans que je me dis que j'aimerais bien écrire un instant d'un an, un coup de cœur, et maintenant une pépite, mais cela fait également deux ans que je repousse l'échéance en me disant que le temps ne me manque pas. Eh bien il s'avère qu'aujourd'hui, le temps, je n'en ai plus, et ce n'est pas son absence qui va remplir les pages blanches. Donc, je m'y mets, c'est décidé, je vais écrire.

    Mais écrire sur quoi ? Chaque fois que je ferme les yeux et me plonge dans mes souvenirs pour saisir un moment, une seconde qui mérite d'être transmise, j'ai l'impression qu'elle glisse entre mes doigts pour être remplacée par une autre. Puis une autre. Puis une autre. Le plus dur n'est pas d'écrire, non. Les mots me sont toujours venus tout seuls. Le plus dur est de se résoudre à abandonner une infinité d'instants au profit d'un seul. D'ignorer une éternité pour n'en partager qu'un fragment. De quoi dois-je parler, alors ? Quel souvenir vaut plus que les autres ?

    Le plus effrayant ? Ce bâton cassé, devant plusieurs centaines de personnes lors de la Générale, et le regard échangé avec Lisa ? Un regard qui n'a duré qu'une fraction de seconde mais qui nous a semblé s'étendre indéfiniment ; un regard qui voulait dire qu'on était deux, qu'on était ensemble, qu'on allait s'en sortir ; un regard dans lequel se reflétait plus d'un an de complicité qui trouvait son apogée dans une compréhension tacite mais parfaite l'une de l'autre ; mais surtout un regard qui voulait dire « Putain de bâton !!! ».
    Dois-je parler du plus jouissif ? Du sourire et des quelques mots de Dominique me félicitant pour ma prestation ? De la perspective de trois ans qui s'est alors déployée sous mes yeux, à partir de laquelle, combattant mon vertige, j'ai pu me rendre compte que j'étais passée de cinq répliques prononcées trop vite, pas assez fort et non sans bégayer, à une scène complète, tenue du début à la fin, et qui n'avait rien dont elle devait rougir.
    Ou faut-il que j'écrive sur le plus déroutant ? Sur ce moment improbable où, une fois rentrée dans les coulisses après ma scène je me suis effondrée en larmes. Sans raison. Le bâton s'était cassé, encore. Mais, cette fois-ci, totalement perturbée, ma partenaire et moi avons inventé la moitié (pour ne pas dire la totalité) des répliques, changé notre chorégraphie et fini tant bien que mal notre prestation. Pourtant, objectivement, nous nous étions plutôt bien tirées de ce mauvais pas, et je savais bien que le public n'avait probablement rien vu. Mais la fatigue, le stress, et la simple perspective du danger dans lequel nous aurions pu plonger le spectacle si nous n'avions pas eu la présence d'esprit d’enchaîner in extremis de vagues morceaux de textes ont suffi à me réduire à l'état de loque émotionnelle. Et Lisa, à côté de moi, n'avait pas mieux géré l'affaire, s'adonnant à un rire nerveux. Je nous vois encore, traversant les coulisses : moi, étouffant mes sanglots et elle, étranglant ses éclats de rire. Je me souviendrai sans doute toujours de mes poumons se contractant, de mes épaules soumises à des spasmes douloureux, des larmes brûlantes qui coulaient toutes seules, de mes mains agrippant frénétiquement ma bouche pour prévenir le moindre son s'échappant de mes lèvres. Et ça, sans véritable raison. Juste parce que, tout en sachant que je n'avais rien gâché, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer la catastrophe que cela aurait pu être. Mais, il y a autre chose que je n'oublierai pas. Cette autre chose, c'est Léane et Barbara, juste avant leur entrée sur scène, qui se sont tournées vers moi pour me consoler et qui sont restées à mes côtés ; cette autre chose, c'est Cindy et Michelle qui ont pris en charge le verre et le camembert que je transportais, non sans répéter que tout allait bien et que ma scène avait été brillante ; cette autre chose, c'est Lisa qui s'est assise à côté de moi pour qu'on calme ensemble nos crises nerveuses avant de devoir retourner sur le plateau, face au public.
    Est-ce de ces souvenirs-là, dont je dois parler, ou de tous les petits à-côté, les instants qui peuvent paraître dérisoires face aux moments sur scène, mais qui représentent réellement ce qu'est le théâtre ? Les voix profondes de Vincent et Julien lors des concentrations, les heures exténuantes à répéter inlassablement les mêmes phrases jusqu'à ce qu'elles sonnent justes, les discussions tardives sur Facebook avec Nolwenn « ˗ Tu as tes affaires pour demain ? ˗ Non, tu crois que Dom va me tuer ? ˗ C'est fort probable... », les chansons stupides chantées dans les cars, les heureux « désolée monsieur, mais je ne pourrai pas faire l'évaluation de maths de demain, j'ai une sortie théâtre » et les moins heureux « désolée les filles, je ne vais pas pouvoir venir avec vous, vous savez bien que j'ai théâtre le mercredi après-midi », les regards qu'on lance aux professeurs après les saluts et leurs sourires qui veulent dire que oui, on a bien joué, que oui, on a été bon, que oui, on a été beau. Tous ces minuscules instants qui forment véritablement l'âme de l'option théâtre du lycée Truffaut.

    Je me retrouve devant ce même dilemme depuis trois ans, devant ce même document Word dont chaque pixel est exaspérant de blancheur. Je ne peux tout simplement pas me résoudre à ne développer qu'un souvenir.

    Enfin si. Un seul souvenir. Celui-là. Celui de moi, assise en tailleur sur mon lit, mon PC sur les genoux, les yeux fermés, laissant chaque minute, chaque émotion, chaque impression, chaque sentiment me revenir en mémoire. Chacun me paraît magnifique et éblouissant : je me délecte de mes peurs et de mes peines, je rigole de mes moments de bravoure, je me remémore mes blancs, je chéris mes souffrances et j'accueille à bras et cœur ouverts tout ce qui a formé cette année. A la fin de cette aventure, le bon comme le mauvais me paraissent splendides, l'essentiel comme l'anodin me semblent inoubliables. Chacune de ces secondes, qui ont formé ces heures ne seront plus jamais vécues, elles appartiennent au passé. Cependant, elles m'ont tant apporté, m'ont tant changée, que je suis certaine qu'aussi loin que m’amène ma vie, quelles que soient les choses qui formeront mon avenir, j'aurai juste à m’asseoir en tailleur quelque part, à fermer les yeux, et tout se redessinera sur mes paupières.
 
    La semaine prochaine, c'est la Dernière. La fin de cette histoire, de ce qu'aura été pour moi l'option théâtre du lycée Truffaut. Et je suis là, assise en tailleur sur mon lit, un vague sourire aux lèvres. Et la page n'est plus blanche.
Cassie, option théâtre

Sixième pépite, celle de Laura

Toutes sortes de découvertes
Premier mardi de l'année, 14h30, c'est le début d'une superbe année remplie de découvertes artistiques, de rires, de stress, de problèmes, mais surtout de bonheur, mais ça je ne le sais pas encore.
J'entre donc dans cette salle et découvre la tête de toutes les personnes du groupe. Bien sûr j'en connais déjà quelques unes mais j'ai hâte de connaître tout le monde. Les cours suivants, chacun se présente, quand vient mon tour je suis légèrement stressée mais je me lance. A ce moment de l'année, personne ne se connait vraiment. Mais c'est par la suite, avec les missions, les nombreuses sorties, ou encore avec l'aide des intervenants comme Pascal, qu'on apprend à se connaître et à apprécier  chacun. C'est ce côté-là dans le CAA qui me plait, la découverte de nouvelles personnes, mais également sur le théâtre, sur l'art. Cette année de CAA a été pour moi une superbe expérience que je ne regrette pas du tout. 
Laura CAA2

lundi 23 mai 2016

Cinquième pépite, celle de Julie

Nouvelle pépite, nouveaux instants, nouvelle plume (celle de Julie)... et nouvel envol !
Mission et chanson
    Une année est passée… Déjà ! Le temps passe vite et on ne s'en réjouit pas. Tous ces bons moments passés vont me manquer. Toute cette année est  formidable mais deux moments resteront dans mon cœur.
    Pendant ce petit moment, nous avons réalisé des missions. J'aime beaucoup faire cela. J'ai comme mission les médias. Cela consiste à faire un dossier de presse et à contacter des personnes pour organiser une conférence de presse. Avoir des responsabilités est très bien mais cela fait peur. Au début, je suis intimidée et je ne sais pas quoi faire. Mais je peux compter sur mes camarades et Mme Grégoire, le professeur. Contacter les personnes par téléphone me stresse mais je prends mon courage à deux mains et je me lance. A la fin de mon travail, je suis fière de moi. J'ai accompli ma mission. On a toutes réussi. Cette cohésion de groupe est géniale. Travailler dur pour obtenir un résultat est tellement important et ça fait plaisir.
    Ensuite arrive la répétition d'un groupe de musique, Okelenso. Ils ont envie de partager leur passion, qui est la musique cubaine, et m’emportent dans leur monde. Je ferme les yeux et c'est comme si je m'envolais. Je me sens comme sur un nuage. Tous ses instruments réunis donnent une mélodie magnifique. C'est un moment unique que je n'oublierai pas de si tôt.
Julie Mabileau, CAA1

vendredi 20 mai 2016

Quatrième pépite : Léa s'envole !...

Et nous fait voyager avec elle... Encore une bien jolie pépite, née de la rencontre avec Pascal Arbeille. 
Comme une plume

Je suis assise en cours, comme habituellement.
Un homme devant moi, les cheveux courts et blancs.
J'ai Noa à ma gauche et Julie à ma droite.
Impatiente, la joie me monte et j'ai hâte.

L'homme nous décrit la séance d'aujourd'hui,

Et pour cela, il ne fallait faire aucuns bruits.
Nous nous transformerons en petites hirondelles.
Commençons ensemble, damoiseaux, damoiselles !

Les bâtons dans les mains, Noa derrière moi,
Les gens me regardent, bizarrement, j'ai froid.
Nerveuse et stressée, fermant mes paupières,
nous allons commencer, je me tiens droite et fière.

Mes muscles se lâchent, je ne me guide plus.
Mon poids devient plume et je suis détendue.
J'inspire, j'expire, mes poumons se libèrent.
Dans toutes directions mes bras se balancèrent.

Léa Tonnellier, CAA2

jeudi 19 mai 2016

Troisième pépite : celle d'Océane

Nous en sommes à notre troisième, et elles sont toutes aussi belles les unes que les autres, ces minuscule petites pépites... Voici donc celle d'Océane : 
Savoir lâcher prise…
Allongée sur le sol, les yeux fermés, je dois lâcher prise. Mais que veut dire lâcher prise ? Mon corps ne forme qu’un avec le sol, mes mains sont posées sur la moquette, et pourtant je ne le sens pas. Ma tête, mon corps, mes bras, mes jambes me semblent lourdes, très lourdes. J’ai souvent entendu ce terme mais ne l’ai jamais vraiment compris. Je vois mes pensées et mes sentiments défiler, je m’arrête. Certaines me semblent douloureuse, d’autres douces, angoissantes, drôles. Je vois les petits tracas de tous les jours, les disputes, les amis que l’on pensait indispensables devenus de simples personnes parmi tant d’autres, cette pensée me fait mal. Alors je pense au devoir de demain, aurai-je une bonne note ? D’un coup j’entends une voix, celle de madame Grégoire : « laissez vos pensées défiler, comme si vous regardiez les nuages passer au-dessus de vous, regardez-les, mais ne vous arrêtez pas dessus. » J’écoute et j’applique, je les regarde seulement passer. Petit à petit je vois mes pensées disparaître, je ressens le rythme des battements de mon cœur, la respiration qui traverse chaque partie de mon corps, mon être en osmose avec le sol. Je ressens chaque bruit, même les plus sourds, le ronronnement de la Terre, la vie tout autour de moi. Je me sens comme le réceptacle du monde, une source d’énergie continue en symbiose avec le monde. Mes yeux s’ouvrent, je ne ressens rien, je ne pense à rien, je ne sais plus rien, je suis vide de toute émotion. La musique commence, une seule chose est vraie à ce moment, je suis une Thébaine. J’ai lâché prise.  
 Océane Gaiarini, CAA1

mercredi 18 mai 2016

Dionysos Circus à Truffaut !!!

Trois représentations au lycée cette année : à vous de choisir !
Dionysos Circus
Jeudi 19 mai, vendredi 20 mai, samedi 21 mai
21h30 (ouverture des portes à 21h20)
Participation libre

Message pour les CAA, les comédiens et régisseurs : le montage commence à 16h00 le jeudi et à 17h00 le vendredi.

mardi 17 mai 2016

La deuxième pépite : celle de Clarisse

Instant éphémère
Cette sensation d'arriver vers l'inconnu, c'est ce que j'éprouve en franchissant une porte, celle du CAA. Je vois un brouillard de mille visages, des visages féminins, on se cherche, j'observe tout le monde, les filles parlent toutes entre elles. Moi ? Je reste muette, je regarde autour de moi, je vois alors, qui ? sans doute cette femme aux cheveux dorés qu'on appelle toutes " madame" ?
L'année devient de plus en plus éphémère, le temps me file à travers les doigts, telles des gouttes d'eau qui tombent en un quart de seconde. Nos pupilles sont émerveillées par le chemin parcouru toutes ensemble.
 Aujourd'hui, le 3 mai,  franchissant une énième fois cette porte, je respire l'oxygène, je prends une grande bouffée d'air frais qui est sur mon passage, et, à ce temps imprécis, je sens la fin, la fin de cette année éphémère, et tout me vient confirmer ceci avec cette ébauche, ce texte, je dévoile alors mon ressenti, je vous dépose sur ce morceau de blog mes tripes.
Je vais vous dire qu'une année éphémère peut vite s'oublier, sauf si celle-ci fut FANTASTIQUE ! Entre rencontres, spectacles, découvertes, missions, travaux, tout a une fin. Souvenez-vous alors de ces moments chaque jour, on appellera cela, alors, l’immortalité de nos pépites. 
                                                                    Clarisse Jacquot, CAA1

La toute première pépite : celle d'Imane

Voici la première pépite extraite de notre mine. Cette pépite primeur est celle d'Imane. Merci à elle. Et si vous voulez (re)découvrir la bande-annonce qu'elle a réalisée avec son équipe, allez voir le message publié le mercredi 16 mars sur notre blog : http://truffaut-theatre.blogspot.fr/2016/03/dionysos-circus-deuxieme-bande-annonce.html. Mais laissons la parler (écrire plutôt), pour nous expliquer le moment qui aura marqué son année :
La boucle est bouclée
« Aujourd'hui, on ne va pas chômer mes chers élèves. C'est le bouclage ! », lance Mme Grégoire. Les mains tremblantes, le cœur un peu serré, je commence légèrement à paniquer, à stresser, « Non.. !, c'est la dernière séance ?! » m'exclamais-je haut et fort dans la classe. Après plusieurs séances de travail, c'est l'aboutissement, la conclusion, d'une année riche en émotions. Pendant des mois, j'ai accompagné la création de la pièce de théâtre , Dionysos Circus, d'après Euripide, jouée par les lycéens. Mais, ce jour-là, c'était le « clap de fin »... Je devais confectionner des badges pour l'organisation des représentations, mettre sous enveloppe les invitations V.I.P. à envoyer, etc.
Tout au long de l'année, j'avais eu également pour mission de créer une bande-annonce du spectacle, d'en extraire les temps forts et surtout d'en assurer une belle vitrine pour donner envie au public de le découvrir. Avec une équipe soudée autour de la réussite de ce projet, j'ai œuvré dans ce sens et ce jour-là, moment du bouclage, il fallait que le petit film soit prêt, impeccable, pour le visionnage, pour affronter ensuite les réactions des autres. C'était un moment inoubliable, d'autant plus que généralement les élevés ont apprécié notre vidéo. Un soulagement et surtout une grande satisfaction : celle d'avoir vécu une jolie aventure artistique. 
Imane Laurence, CAA2

lundi 16 mai 2016

CAA demain : où ?

Les cours de CAA auront lieu demain dans les salles informatiques. Apportez vos carnets de bord, et les notes prises pour vos "pépites". A demain !

dimanche 15 mai 2016

rappel : mercredi, pas de séance théâtre

mercredi prochain, profs et élèves (de terminale) passent le bac théâtre. Pas de séance donc !
Au mercredi suivant, quoi qu'il en soit !

jeudi 12 mai 2016

Nos cousins de Lucie-Aubrac ont encore frappé !

Cette année, nos cousins de Lucie-Aubrac, en classe de CM avec Michèle Cupcic, ont encore fait des prouesses. Ils ont fait des recherches sur le théâtre et travaillé plus particulièrement sur une scène, sans avoir vu auparavant l'approche choisie pour Dionysos Circus. Autant de regards portés sur un même texte, où chacun y met toute son âme ! Ils ont même réalisé un petit film, qui vaut le détour, et que nous avons le plaisir et l'honneur de présenter sur notre blog. A la fois petite histoire du théâtre et triple interprétation de la scène choisie, ils ont tout fait eux-mêmes. Voici ce que nous dit leur maîtresse pour expliquer les modalités de ce super projet : "Nous avons, durant un trimestre, pratiqué un atelier théâtre d'une heure par semaine puis à partir du 21 mars nous avons travaillé concrètement sur la pièce, la mythologie, Dionysos, le théâtre et travaillé en production d'écrits (textes sur le théâtre, version moderne de la scène choisie). 11 des 27 élèves sont venus à la première de Dionysos Circus. Ils ont beaucoup aimé le côté circassien de la pièce. Quelques passages les ont marqués : le labyrinthe, le casque et son utilisation pour figurer la tête de Penthée, les chaines. J'ai pris le parti de ne pas leur montrer la captation que m'a passée Cassie tant que vos représentations ne seront pas terminées (d'autres élèves profiteront des représentations au lycée) ; nous la visionnerons ultérieurement. Tous ont aimé travailler sur ce thème et étaient très motivés du fait de travailler sur un "texte de lycéens" et de  leur envoyer le résultat de notre travail."
Ils sont épatants nos cousins !!! Allez le vérifier en regardant leur film. Nous, on n'a qu'un mot à dire : CHAPEAU BAS ! 

mardi 10 mai 2016

La Vendée vue du ciel : le film de Cyril

Allez voir la dernière oeuvre de Cyril, de l'atelier régie-scénographie. Vous reconnaîtrez des images déjà vues, mais bien d'autres également ! Bravo à lui pour son travail !

samedi 7 mai 2016

Vous voulez aider le théâtre ?

C'est maintenant possible ! Si vous voulez donner un petit coup de pouce financier au théâtre, vous pouvez le faire, grâce à la MDL (Maison Des Lycéens), au dynamisme de ses membres, au travail de quelques théâtreux dont Nolwenn et Cyril, et à l'accord des responsables du lycée. Que tous en soient chaleureusement remerciés !
Pour le faire, c'est simple, allez sur ce lien : https://www.leetchi.com/c/projets-de-cyril-4670889 et laissez-vous guider !
Merci à ceux qui ont déjà fait la démarche, et à ceux qui la feront bientôt !!!

jeudi 5 mai 2016

Le film qui va vous faire décoller

Et voici sur notre blog, toujours à l'avant-garde, un petit film exceptionnel : Truffaut (et sa troupe de théâtre) vus du dessus. Si !!! L'idée et la réalisation sont de Cyril, par ailleurs régisseur lumières. Bravo à lui ! On n'arrête pas le progrès, décidément. Mais où s'arrêteront-ils, ces sacrés théâtreux, on peut se poser la question...

mardi 3 mai 2016

La pépite de l'année

Il y a quatre ans, c'était "la madeleine" ; il y a trois ans, c'était "le billet d'humeur"; il y a deux ans, c'était "l'instant d'un an" ; il y a un an, c'était "le coup de coeur". Cette année, ce sera :
"la pépite"
Les CAA sont déjà à l'oeuvre. Mais tous ceux qui le souhaitent peuvent s'y mettre. Le principe : un texte, personnel, pour évoquer la "pépite" de cette année artistique. L'instant, court ou long, qui vous a ému, marqué, choqué, émerveillé..., celui qui restera pour vous, et que vous avez peut-être envie de partager.
Rappel des consignes pour les CAA :
- être le plus personnel possible
- être le plus créatif, inventif, libre... possible
- donner un titre
- signer, avec obligatoirement la mention CAA1 ou CAA2
- utiliser la première personne du singulier
- utiliser le présent
- ne pas faire de fautes d'orthographe (les textes qui seront cousus de fautes ne seront pas publiés)
- enregistrer votre fichier, clairement nommé par votre prénom (et pas par "pépite" par exemple...), ainsi que tous les documents de votre choix - photos, dessins, croquis, etc - (il faut juste que ce soit un format "image", jpeg ou png) dans le dossier qui sera créé à cet effet : serveur théâtre - CAA1 ou 2 - dossier "pépites".

Mardi 10 mai : représentation de Dionysos Circus à Saint-Jean-de-Monts

Mardi 10 mai à 14h30, Dionysos Circus sera joué à l'Odysséa de Saint-Jean. La représentation est à destination des collégiens du collège des Pays de Monts, mais elle est également ouverte à tous, et gratuite. Venez !
Petit rappel des modalités pratiques :
Équipe régie : départ lycée Truffaut : 8.30, c'est Stéphane Vallès qui vous prend en charge - comédiens : départ : 13h00* - retour : départ Palais des Congrès : 17.00
* Attention : les horaires sont très serrés. Le car doit impérativement partir à l’heure.
Prévenez vos professeurs de votre absence. Ils le seront officiellement par l’administration, mais c’est la moindre des corrections…
La régie part le matin pour installation, en minibus (paniers repas fourni par le lycée sauf pour les externes). Les comédiens viennent l'après-midi.
Si vous ne prenez pas le car, nous devons obligatoirement avoir A L'AVANCE une autorisation écrite (à donner à Julien ou Vincent).

lundi 2 mai 2016

Cours CAA demain : où ?

Demain, les deux cours de CAA auront lieu dans les salles de l'annexe (9 et 11) et non dans les salles informatiques. N'oubliez pas d'apporter vos carnets de bord. A demain !

Mercredi : Pascal !

Ce message s'adresse aux groupes encadrés par Pascal/Dom. Pascal sera présent mercredi prochain. Ce sera sa dernière intervention pour...