Instant éphémère
Cette sensation d'arriver vers l'inconnu, c'est ce que j'éprouve en franchissant une porte, celle du CAA. Je vois un brouillard de mille visages, des visages féminins, on se cherche, j'observe tout le monde, les filles parlent toutes entre elles. Moi ? Je reste muette, je regarde autour de moi, je vois alors, qui ? sans doute cette femme aux cheveux dorés qu'on appelle toutes " madame" ? L'année devient de plus en plus éphémère, le temps me file à travers les doigts, telles des gouttes d'eau qui tombent en un quart de seconde. Nos pupilles sont émerveillées par le chemin parcouru toutes ensemble.
Aujourd'hui, le 3 mai, franchissant une énième fois cette porte, je respire l'oxygène, je prends une grande bouffée d'air frais qui est sur mon passage, et, à ce temps imprécis, je sens la fin, la fin de cette année éphémère, et tout me vient confirmer ceci avec cette ébauche, ce texte, je dévoile alors mon ressenti, je vous dépose sur ce morceau de blog mes tripes.
Je vais vous dire qu'une année éphémère peut vite s'oublier, sauf si celle-ci fut FANTASTIQUE ! Entre rencontres, spectacles, découvertes, missions, travaux, tout a une fin. Souvenez-vous alors de ces moments chaque jour, on appellera cela, alors, l’immortalité de nos pépites.
Clarisse Jacquot, CAA1
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