lundi 23 juin 2014

L'instant d'un an de Léane, le mot de la fin (provisoire...)

Un instant rempli d'amour


Quelques minutes seulement, quelques minutes de câlins entre amis, entre comédiens, entre personnes ayant une même passion commune. Avant chaque représentation, juste après le moment de la préparation mentale pour le spectacle, avec tous les comédiens nous nous faisons des câlins. Pas des câlins sans émotion que l'on peut faire tous les jours ou à n'importe qui, non, des câlins remplis d'amour et de tendresse.
Certains me serrent très fort, d'autres me frottent le dos et, en faisant ces câlins, on se dit tous un petit mot : «merde». Ce mot au théâtre est une sorte de «bonne chance». Tout ça accompagné de larmes, des larmes d'amour ainsi que de joie de tous partager cette expérience. Ces simples mot et câlin me réchauffent le cœur et me donnent plus d'énergie pour le spectacle.
Ces deux choses me montrent à quel point une passion commune peut nous rapprocher et, qu'en une année, on peut s'attacher à des personnes qui, au départ, ne se connaissaient pas.
Un simple instant, un simple câlin, un simple mot et de simples larmes, mais juste remplis d'amour.
Léane B.

dimanche 22 juin 2014

L'instant d'un an d'une spectatrice de DesEquilibres

Déséquilibre dans ma tête 
Nous sommes le jeudi 22 mai. Aujourd'hui, je ne suis pas allée en cours car je ne me sentais pas bien. Il est à peu près 15h00, je me réveille et vois un message d'Angèle me demandant si je viens voir la pièce de théâtre ce soir. Je m'empresse alors de demander l'autorisation à ma mère, elle hésite et finalement accepte. Je suis impatiente de partir de chez moi, j’attends jusqu'à 20h00 pour y aller.
J'emmène ma petite sœur avec moi et rejoins Louise, Angèle et les autres sur le parking de la maternelle vers 20h30. On fume nos cigarettes et on parle en attendant 21h45. Ça y est, plusieurs spectateurs sont déjà là, on part s'installer dans le forum. De là où on est, on ne voit que très peu la partie gauche de la scène, c'est dommage... Le spectacle commence après le discours de Mme Grégoire.

Deux tables au sol, les régisseurs tapis dans l'ombre vêtus de vêtements et d'un masque noirs. Sur les tables, monte une jeune fille enrobée d'une couverture, Viv. Elle semble perdue, déboussolée... Puis son ami Nelson arrive.
Le dialogue commence, le jeu des acteurs est incroyable, maintenant c'est moi qui suis déboussolée, je me prête complètement au jeu, Viv et Nelson m'embarquent dans leur histoire, j'ai l’impression de ressentir leurs paroles, leurs sentiments... Et je laisse quelques larmes couler...
Au bout d'une heure dix, le spectacle se termine... Les émotions sont fortes... Je sors du forum, toujours accompagnée de ma sœur, de Louise et d'Angèle, on fume une clope et on parle du spectacle... C'était un moment fort.

samedi 21 juin 2014

L'instant d'un an de M. : la préparation du concert d'Europajazz

Arrêt sur image... puis la vie repart
Après avoir passé plus de cinq mois à préparer ce projet, ce concert, notre concert, j'ai enfin vu la concrétisation de ce travail. 

Avec Enora, nous devons trouver des nœud-papillons rouges pour mettre sur notre billetterie. Pendant qu'Enora continue d'installer les nappes, je pars à la recherche de ces nœuds. Je marche assez vite puisque nous devons réaliser notre mission rapidement. Eh bien, donc, je n'ai pas de temps à perdre !
Je passe donc par le haut du forum, qui est le chemin le plus rapide, quand, soudain, mes yeux sont attirés par tous les boutons sur la console de la régie. Je m'arrête, je lève lentement mon regard et c'est à ce moment que je réalise que le concert va commencer dans moins de trois heures.
En face de moi, les filles accrochent les pendrillons et sous mes pieds Louna passe l'aspirateur. Notre spectacle est en train de se préparer, c'est bon, le jour J est arrivé. Tout le monde est tellement concentré sur son travail, sur la mission qui lui a été donnée par Barbara et Lucie que tout se passe très bien. L'ambiance est assez détendue, même si nous sommes légèrement stressés et que nous n'avons pas envie de décevoir madame Grégoire. 
Je vois à quel point nous sommes une équipe et que nous sommes très actifs lorsque nous avons un but qui nous tient à coeur. Dès que quelqu'un a besoin d'aide, d'autres quittent leurs tâches pour venir l'aider. L'émotion se fait ressentir parmi nous, il y a toutes sortes de sentiments : de la joie, de la colère, du stress, de la peur et de l'impatience. 
Au bout de quelques secondes à contempler cette scène d'un soir, je repars à la recherche des nœud-papillons. Je suis quand même un peu nostalgique puisque, dans quelques heures, tout sera fini. Notre travail aura sûrement donné quelque chose de très bien mais, cette expérience, je ne pourrai plus la revivre et je me dis aussi que je dois profiter au maximum de ce que je fais aujourd'hui. 

D'un coup, quelqu'un nous annonce que les artistes viennent d'arriver et qu'il faut les aider à décharger leur camion. J'abandonne donc les noeud-papillons pour le moment et je pars en direction des musiciens. C'est à ce moment-là que, pour toute notre équipe de CAA, c'est un peu de pression en plus puisque c'est là que tout commence réellement.

vendredi 20 juin 2014

L'instant d'un an de Barbara : Derniers instants de la dernière représentation de DesEquilibres

En attendant la fin
Applaudissements. En ligne derrière les pendrillons, tous en coulisses... C'est fini, c'était la dernière. Plus jamais nous ne jouerons ce spectacle, plus jamais nous ne pourrons être aussi forts que nous l'étions lorsque nous étions ensemble... Une année de théâtre et tout plein de souvenirs. Je rentre sur la scène pour ce dernier salut, accompagnée de tous les théâtreux, tous ceux avec qui j'ai partagé cette année de théâtre, une équipe de choc, qui sont souvent devenus de véritables amis. 
Et voilà que nous sommes tous en ligne, on avance, on salue, le rappel du public, les remerciements. Et voilà que mes joues sont mouillées... Ce soir, c'était la dernière, la concrétisation et la fin d'un projet énorme d'une année d'entraînements, de rires, d'engueulades, de belles rencontres et surtout d'amour, une année de pur bonheur à leurs côtés.
      Je regarde Marion... Elle voit ces larmes dévaler sur mes joues, elle me les essuie et me serre fort contre elle. Ça me fait du bien même si je pleure un peu plus, puis Lolita me prend elle aussi dans ses bras.. 
Ça y est, c'est vraiment fini, cette fois : derniers câlins pour dernier spectacle, et c'est la fin d'une année. La fin d'une histoire.  
Lebrasseur Barbara

jeudi 19 juin 2014

L'instant d'un an de Coline : premier cours de CAA

Le commencement
  Il y a un an, je rentrais dans la salle 10 pour la première fois. Mon premier cours de CAA. Dix-huit personnes remplissaient la salle, et seulement deux garçons. Ce jour-là, je ne connaissais que les gens de ma classe, et ceux de l’autre classe m’intimidaient. On était tous ici pour découvrir l’enseignement d’exploration CAA qui m’avait paru, en le choisissant, si différent des autres. 
  On s’est tous installés chacun à des places plus ou moins stratégiques, à côté de gens que l’on connaissait. Ce jour-là, on n’a pas découvert la prof, on la connaissait déjà. Mais elle nous a fait découvrir en quelques mots cette matière que l’on avait choisie et ce qu’on allait faire tous les mardis de l’année de 16h00 à 17h30.
Après son explication, Madame Grégoire note au tableau des questions auxquelles on devra répondre à l’écrit. Puis à l’oral !?! L’horreur, je déteste parler devant des gens que je ne connais pas ! Essayons de passer entre les mailles du filet… QUOI !?! Tout le monde devra passer !?! J’ai vraiment la poisse, mais bon, sur ce coup-là, va falloir surmonter sa peur. Alors je note mes réponses à : « Pourquoi j’ai choisi CAA ? Quel objet me reflète le mieux ? » Houla, mais quelle drôle de question...
Après que tout le  monde ait fini de noter ses réponses, il faut mettre les tables en rond et s’installer. C’est la prof qui choisira, au hasard, l’ordre de passage. Le stress monte : je sens que je vais passer la première… Ah non, ouf, ce n’est pas moi ! Plusieurs personnes se succèdent avant moi, avec des histoires et des représentations qu’ils ont d’eux en objet toutes aussi intéressantes que passionnantes. Puis vient mon tour. Le trac. Comme le comédien qui se lance sur la scène face à une centaine de spectateurs. Sauf que là, c’est moi, et que je ne suis pas comédienne, juste une lycéenne, et que je ne suis pas face à un grand public, seulement le reste de la classe. Cette classe qui est tout ouïe et qui attend que je m’exprime. Je me lance, je raconte mon histoire et, face à tous ces gens, le stress s’en va, face à ces gens, je suis à l’aise, et tous les tracas s’envolent comme s'il n’y en avait jamais eu. 
Mon instant d’un an, c’est l’ambiance du groupe de CAA du mardi. Mon instant d’un an, c’est notre premier jour. Notre premier cours de CAA.
Coline GABORIT

mercredi 18 juin 2014

L'instant d'un an de Manon : résidence à Saint-Hilaire-de-Riez

Ma fidèle incruste
Je m'appelle Manon, je ne fais pas partie du groupe théâtre, juste du CAA mais, malgré ça, j'ai suivi la troupe dans son « intimité». Le vendredi 25 avril, n'ayant que deux heures de cours, je les ai rejoints ensuite à la salle de la Baritaudière à Saint-Hilaire-de-Riez. J'ai passé l’après-midi avec eux, mes amis. Ça me faisait plaisir de les voir en dehors de Truffaut, dans ma ville, à cinq cents mètres de chez moi.
J'ai vu la pièce en VIP avec d'autres élèves qui étaient au rendez-vous. J'avais entendu parler de la pièce. Avant, on m'avait dit que les musiques et les danses étaient superbes. Après les avoir vues, je peux dire quelles étaient MAGNIFIQUES ! Des larmes de joie ont coulé sur mes joues durant la représentation, j’étais happée par le spectacle, je regardais mes amis qui y mettaient tout leur cœur alors que ce n'était qu’une répèt'. Marion, Lolita, Sian, Marie, Barbara, Hugo, Edène... : toute la troupe m'a émue. Je me suis sentie dans la pièce. Je me suis mise à la place de Viv : incomprise, prise pour folle, personne ne peut comprendre ce que je ressens, même mes amis. 
Le spectacle fini, Dominique me demande mon avis sur la pièce. Je lui réponds qu'il était superbe en essuyant la larme qui me restait. Marion m'annonce qu'ils vont manger au Flunch. Je décide de les suivre en skate mais mon père m'appelle, fou de rage, me demandant de rentrer à la maison. Je suis rentrée, [puis] je suis vite repartie [...] dans mon élément, avec les gens que j'aime. 
Arrivée au Flunch, nous mangeons. Les comédiens entre eux rigolent, certains pleurent, puis la fin du repas arrive. Je repars sur mon skate, direction la salle. Je suis arrivée avant le bus, l'impatience m'a donné de la force pour rouler. Toute la troupe descend alors du bus et repart se concentrer dans la salle. Je décide, après hésitation, de faire la concentration avec eux. 
Je ne fais pas partie de la troupe et pourtant je me sens à ma place. Gaëlle nous fait crier, bouger, respirer, vibrer. Et vient le moment des câlins. Tout le monde prend quelqu'un dans ses bras et change de personne après lui avoir dit «merde». Certains pleuraient encore, c'était beau...
Le spectacle arrive en courant. Les gens s'installent, j'aperçois le papa de Sian, le proviseur, la maman de Marion, des anciens élèves.
Je fais la billetterie puis je m'installe dans les gradins pour admirer, une nouvelle fois, le spectacle que j'avais vu il y a quelques heures auparavant. Encore des larmes, du rire, de l'admiration envers tous ces comédiens qui ont travaillé dur pour obtenir un si bon résultat, mais aussi pour les profs qui ont quasiment tout appris à mes amis, que je vois sous un autre personnage : Sian avec qui je fais de la musique m'a fait pleurer avec certaines de ses répliques ; Lolita, Barbara, Marion avec qui je fais la folle à longueur de temps ; Marie que je côtoie peu, à part en cours d'anglais et de CAA. Tous ces gens m'ont émue, je les ai vus au summum de leur concentration, de leur émotion et de leur jeu. 
Le soir, je suis rentrée chez moi, de multiples souvenirs dans la tête, beaucoup d'émotions et d'admiration. J'ai voulu raconter l'histoire et les péripéties de ma journée à mon père, il n'était pas spécialement intéressé. Alors, je me suis rabattue sur mon petit frère qui, à huit ans, ne comprenait pas tout. Alors, je me suis repassée les meilleurs moments, les meilleures danses, les répliques qui m'ont fait vibrer jusqu'au lendemain, où je suis retournée m'incruster avec toute la troupe et mon frère pour la seconde représentation. 
J'ai vu ce spectacle quatre fois et à chaque fois la même émotion, au même moment, la même réplique me submerge de nostalgie, de bonheur. Je n'ai qu'une envie, pouvoir rester à Truffaut l'année prochaine pour pouvoir rentrer dans cette «famille» qui me correspond tellement. 
Bravo à vous tous et merci.
Manon Biron 2G

mardi 17 juin 2014

L'instant d'un an de Lilas : le jour J du concert Europajazz

Le résultat
Il était seize heures et nous étions le mardi 15 avril. Madame Grégoire nous avait donné rendez-vous dans le forum. Après la pause, j’arrivai donc avec Coline au point de rencontre. Nous étions en train de parler de la soirée que nous allions passer car, ce soir-là, c’était « le grand soir », comme disait Madame Grégoire. En effet, c’était le soir du concert que nous préparions depuis plus de six mois déjà. Nous étions en train de débattre sur la soirée, nous demandant si nous allions nous ennuyer ou pas.
Cette discussion n’a pas beaucoup duré puisque nous devions rapidement tout installer pour que la salle soit prête lors de l’arrivée des artistes. Tout devait être prêt : aussi bien les rideaux, les tapis de scène, les tables que les programmes que nous avions faits avec Jonathan. Toute l’équipe était soudée, nous ne faisions plus qu’un. Chacun trouvait sa place et son intérêt au sein du groupe, nous étions liés plus que jamais. Je nous revois tous nous activer sous les conseils précieux de l’équipe organisatrice et ceux de Madame Grégoire.
Le forum était prêt, tous les élèves hors ceux de l’option étaient partis, et les musiciens étaient déjà installés. Rapidement, je suis sortie pour pique-niquer avec les filles du groupe photo. Quand nous sommes entrées de nouveau dans le forum, quelques personnes du public attendaient déjà devant la porte de l’accueil. Tout notre travail était là, prêt, sous les yeux de personnes qui ne l’avaient jamais vu. Nous étions prêts à temps, sans aucun souci de dernière minute. Je voyais alors notre travail comme quelque chose de très professionnel. Les portes étaient ouvertes et les spectateurs rentraient au fur et à mesure, les yeux rivés sur notre travail.
Ce fut mon instant, celui d’un an de travail mais surtout de solidarité.
Lilas

lundi 16 juin 2014

L'instant d'un an de X : le concert Europajazz

La concrétisation
Le 15 Avril à 20h30, fut la concrétisation du travail fourni tout au long de l'année 2013-2014 par le CAA. Les portes étaient fermées, dehors le public attendait. A l'intérieur, on restait à notre «poste», l'instant d'un moment avant l'entrée des spectateurs. Madame Grégoire ouvrit les portes, le public entra. Je les voyais donc défiler devant moi, ainsi je pouvais aussi voir défiler des souvenirs qui se sont créés grâce au CAA. Les souvenirs évoquaient tout le travail réalisé pour atteindre cette phase finale. Ma mémoire était envahie de tous les moments vécus de l'année. Ceux où l'exploration nous a cultivés et nous a fait évoluer dans ce domaine de l'art du spectacle. 
Au même moment un stress m'envahit, peut-être, me suis-je dit, qu'à la fin du concert, le chapitre «Jazz in truff'» allait se clore.
Par la suite, après avoir réalisé que les spectateurs venaient juste d'entrer, je commençai à les installer dans le forum, enfin presque, au vu du nombre de personnes arrivant au même moment, ils se sont majoritairement assis eux-mêmes. Quand le public finit de s'installer, je me mis à regarder les instruments présents en plein centre du forum. Dans ma tête, je savais que le concert allait débuter et mettre fin à l'impatience des membres du CAA, qui rappelons-le, n'avaient encore jamais ni entendu ni vu les musiciens jouer.
Dix minutes plus tard, je m’assis en bas du forum avec les autres, et le spectacle commença. Ce fut l'aboutissement d'un tout nouveau projet pour nous et ainsi l'aboutissement de «l'art du spectacle».

Nouvelles photos de DesEquilibres à Truffaut

Suite, mais pas fin !




dimanche 15 juin 2014

L'instant d'un an de Marie : l'avant-dernière de DesEquilibres

Stade émotion
Ça va être l'heure, le spectacle va bientôt commencer. Comme tout le monde, je suis stressée. Aujourd'hui, c'est l'avant-dernière et l'émotion m'envahit. Je me rends compte, en ce moment, que c'est bientôt la fin. Cette année est passée à une vitesse fulgurante. La complicité que j'ai et que j'ai eu avec chacun me revient en tête.
C'est le moment : les câlins.
Je regarde mes camarades, que dis-je, mes amis, mes frères et sœurs, je m'avance vers l'un d'entre eux et le serre contre moi. Je me dis que je ne dois pas pleurer, mais des larmes montent jusqu'à mes yeux. Je ne veux pas pleurer, pas maintenant, plus tard, garder toute cette énergie en moi pour pouvoir la donner lors du spectacle... Je suis en train de penser que c'est une de mes dernières représentations, que CET instant est l'un des derniers à passer avec eux. Je tourne la tête et sens couler une larme sur ma joue. « Non, je ne veux pas arrêter de couler », me dit-elle en silence. Ça y est, je pleure, mais je ne suis pas la seule. Rose s'approche de moi, me serre contre elle et nous pleurons toutes les deux. Je la relâche et pars à la recherche d'une autre personne à câliner. 
J'y repense, tous ces moments passés ensemble, ces joies, ces peines, ces peurs, je ne sais plus quoi penser. Penser... Abandonner toute réalité et m'évader dans ces pensées si chères à mes yeux, à mon cœur... Marion, Lolita, Solenn, Solène, Salomé, Angel, Barbara, Léane, Constance, Marie, Thomas, Jérémie, Sian, Gabriel, Matthieu, Hugo, Jonathan, Emma, Elsa, Konrad, Hélia, Rebecca, Eden, Fanny, Mélissa, Quentin, Cyril, Erwan, Madigan, Émilie R, Émilie P, Émilie C, Morgane, Benoît, Andréa, Anaïs, Gautier, Noé, Tiphaine, Rose, Léna, Marine, Clarisse, Pauline, Maïlie et Cassie sont tous aussi inoubliables les uns que les autres. Ces moments magiques. Oui je vous aime, comme des frères et des sœurs sur qui on peut compter. J'ai envie de vous le crier mais le silence doit rester. 
Je m'approche de Matthieu, lui fais ce fameux câlin (accompagné de larmes évidemment) avec un grand sourire, et j'entends ce petit « Merde ! » au creux de mon oreille. Ça y est, ça va commencer, je le sais, je le sens, cette adrénaline qui monte en moi me fait monter plus de larmes encore. C'est à ce moment que j'ai envie de m'effondrer car je sais que l'année prochaine, je ne pourrai y participer. Je suis Marie Allain, élève de 2°H et comédienne à vie.

Nouvelles photos de DesEquilibres

















Mercredi : Pascal !

Ce message s'adresse aux groupes encadrés par Pascal/Dom. Pascal sera présent mercredi prochain. Ce sera sa dernière intervention pour...