Valentin faisait partie du groupe "petite forme artistique". Il est l'un des auteurs de la fameuse "chanson des Bacchantes", naguère publiée sur ce blog, composée pour Dionysos Circus. Retour sur cette aventure...
C’est le grand moment. Le stress est à son comble. Je suis face à cette grande porte. Fanny ouvre la scène en rentrant en criant dans la pièce. Je lui emboîte le pas. Difficile de se lâcher. Difficile de se laisser aller dans de telles conditions de stress. Dans ce moment tout s’arrête. Le regard de l’autre fait peur. Le début est le plus important. Ensuite tout s’enchaîne très vite. L’appréhension disparaît. Tout se passe finalement bien et les critiques sont globalement positives. A la semaine prochaine !
Les séances passent, se suivent et se ressemblent. Notre forme est de plus en plus précise. Le stress de passer devant les autres n’est plus qu’un lointain souvenir. Tout ce qui paraissait si difficile n’est plus que, quelques mois plus tard, une simple formalité. En regardant cette porte, ce qui devient une habitude, plus aucun bouillonnement dans le ventre, le thorax. Seulement une envie d’en découdre.
LE TEMPS QUI PASSE
J’entre dans cette salle, guitare sur le dos, obligé de me frayer un chemin entre les personnes tant l’endroit est bondé. Je pose mon instrument et me tiens proche de mon groupe. Tous les autres sont assis sauf nous quatre. Ma mission est complètement différente de celle des autres mais toujours dans le même objectif, celui d’apporter au théâtre en amont. Je dois créer une petite forme pour donner envie d’aller voir la fameuse pièce Dionysos Circus. L’appréhension de la veille, le manque de sommeil sont évincés. Une seule pensée occupe mon esprit : comment vais-je passer devant tous les autres alors que notre forme n’est même pas prête ? En effet, rien n’est décidé, seule l’idée principale et un exemple de déroulement sont écrits sur le papier. Heureusement nous avons une demi-heure pour nous préparer.C’est le grand moment. Le stress est à son comble. Je suis face à cette grande porte. Fanny ouvre la scène en rentrant en criant dans la pièce. Je lui emboîte le pas. Difficile de se lâcher. Difficile de se laisser aller dans de telles conditions de stress. Dans ce moment tout s’arrête. Le regard de l’autre fait peur. Le début est le plus important. Ensuite tout s’enchaîne très vite. L’appréhension disparaît. Tout se passe finalement bien et les critiques sont globalement positives. A la semaine prochaine !
Les séances passent, se suivent et se ressemblent. Notre forme est de plus en plus précise. Le stress de passer devant les autres n’est plus qu’un lointain souvenir. Tout ce qui paraissait si difficile n’est plus que, quelques mois plus tard, une simple formalité. En regardant cette porte, ce qui devient une habitude, plus aucun bouillonnement dans le ventre, le thorax. Seulement une envie d’en découdre.
GARRIDO Valentin CAA2
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