Voici de nouveaux éléments, puisés sur le site de L'instant avant l'aube (http://www.linstantavantlaube.fr/index.php/spectacles/alexandre-le-grand), qui apportent un éclairage sur le projet. Vivement demain... :
« Il faut arriver à trouver une poésie, comme un fil, une poésie du rien.»
Patrice Chéreau
Scénographie - Direction d’acteurs


Tout ceci est un premier jet qui laisse entrevoir, dans le même espace, la représentation d’une autre tragédie de Racine : Iphigénie... Et peut-être imaginer un projet en dyptique...
La musique
Sous la direction de Christine Kotschi, les acteurs se relaieront dans les espaces d’instrumentariums pour accompagner l’ensemble de la représentation. Essentiellement percussive, la musique s’élaborera en contrepoint des alexandrins et en prémonitions du devenir des différents protagonistes. Aucun chant. Juste la confrontation de la langue alexandrine et des percussions rugueuses de la guerre imminente.
Deux pôles instrumentaux,
côté Grec : Timballe, tambours secs et métal (grelots, chaînes, outils... comme des armes)
côté Indien : Tambours d’eau, harpes éoliennes, cristal, quelques appeaux
Les costumes
Entre Orient et Occident. Entre Histoire et Modernité. Les costumes seront traités de façon atemporelle. Conçus pour des acteurs-danseurs, ils permettront une grande liberté de mouvements. Quelques éléments (plis, jupes, jetés d’épaules) suggèreront les influences grecques ou indiennes. Travaillés par empilement d’éléments, sur-rajouts, drapés, ils laisseront peu deviner la chair des acteurs.
Deux palettes contrastées,
côté Grec : bleu, vert, gris (dans toutes les nuances)
côté Indien : rouge safran, rose tyrien, orange, jaune (dans toutes les nuances)
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