Souvenirs Souvenirs...
Nous sommes le mardi 13 décembre 2011, il est 15h30. La sonnerie retentit, je me dirige vers la salle 10 comme d'habitude. En attendant madame Grégoire, notre professeure, on rigolait bien. Là, elle arrive, avec deux personnes, l'une d'entre elles me disait fortement quelque chose. Nous rentrons dans la salle, je m'assois à côté de Kyllian, comme d'habitude, et madame Grégoire fait l'appel avant de nous présenter brièvement nos deux intervenants.
Emmanuelle commença à nous présenter sont travail. Elle nous expliqua qu'elle allait choisir les compagnies, qu'elle les recevait, s'assurait de tout durant leur séjour. Et là tout ce qu'elle nous racontait me faisait penser à mon enfance, à Marie-Jo qui gère la partie culturelle de la SEML de Saint-Jean-de-Monts, et surtout à mon stage de troisième que j'ai fait dans ce service et qui m'a beaucoup marqué. Ceci est dû au fait que ça m'avait énormément plu, que j'avais découvert et appris pleins de choses, mais surtout qu'il s'était déroulé sous la neige. J'avais trouvé ces trois jours passionnants et j'envisage même de faire un des nombreux métiers que j'ai découvert là-bas.
Ensuite, lorsqu'elle se mit à parler du Festival VERT LEZARD, qui se déroule tous les ans à la cour de Baisse à Saint-Hilaire-de-Riez, de nombreux spectacles que j'y avais vus plus ou moins récemment me sont revenus en mémoire. Comme celui où deux hommes sur la scène faisaient leur show avec des œufs et que j'en avais reçu un sur moi, ou encore lorsqu'il y avait eu un concert et que le guitariste avait sauté dans le public, ce qui m'avait beaucoup impressionné ! Et plein d'autres encore...
Et, au fur et à mesure qu'elle parle, mes souvenirs remontent. Elle nous dit aussi que ça ne l’intéresse pas de faire venir Jean-Marie Bigard pour de nombreuses raisons. La responsable du service culturel de la SEML Saint-Jean activités m'avait dit exactement la même chose, pour les mêmes raisons : culturelles, personnelles et d'engagement de la ville.
Et le moment qui m'a le plus marqué, c'est à la fin lorsque je discutais avec elle et que je lui dis que je connaissais bien Marie-Jo Pichaud et qu'elle me répond
que c'est un peu leur maman à tous, et leur exemple, que jamais ils
n'oseraient la contredire (en parlant de tous les responsables de la
côte), que c'était celle qui était là depuis le plus longtemps, celle
qui était la plus investie et qui passait le plus de temps à son travail.
Et c'était exactement ce que j'avais déjà entendu de la bouche d'un
agent technique d'Odysséa où elle travaille.
Puis un monsieur, qui attendait dans un coin de la salle depuis un certains temps, s'avance, prend la place d'Emmanuelle et se présente. Il s'appelle Yvan. Je ne sais plus si vous vous souvenez mais, au début de mon ''discours'', je vous avais dit qu'un des intervenants me disait quelques chose. Eh bien c'était lui ! Mais j'avais beau réfléchir et je ne trouvais pas...
Et là, je me suis souvenu, lorsqu'il nous a rappelé que c'était le seul employé du festival de la Déferlante. Eh oui ! Je l'avais déjà vu plusieurs fois à des pots d'après spectacle dans les jardins d'hiver de l'Odysséa de Saint-Jean-de-Monts. Lorsqu'il nous a rappelé l'histoire du contrat de Ben l'Oncle Soul, d'autres souvenirs me sont revenus.
Cette rencontre m'a donc beaucoup marqué, car, en quelques sorte, elle a résumé les soirées de mes étés d'enfance.
Puis un monsieur, qui attendait dans un coin de la salle depuis un certains temps, s'avance, prend la place d'Emmanuelle et se présente. Il s'appelle Yvan. Je ne sais plus si vous vous souvenez mais, au début de mon ''discours'', je vous avais dit qu'un des intervenants me disait quelques chose. Eh bien c'était lui ! Mais j'avais beau réfléchir et je ne trouvais pas...
Et là, je me suis souvenu, lorsqu'il nous a rappelé que c'était le seul employé du festival de la Déferlante. Eh oui ! Je l'avais déjà vu plusieurs fois à des pots d'après spectacle dans les jardins d'hiver de l'Odysséa de Saint-Jean-de-Monts. Lorsqu'il nous a rappelé l'histoire du contrat de Ben l'Oncle Soul, d'autres souvenirs me sont revenus.
Cette rencontre m'a donc beaucoup marqué, car, en quelques sorte, elle a résumé les soirées de mes étés d'enfance.
Luca Guillonneau, EDE CAA, groupe du mardi 2
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