Garder une trace de chaque séance. C'est l'objectif du can'art. Tout le monde s'y est essayé au cours des deux dernières séances. Voici une proposition, des notes prises mercredi dernier. Ça vaut ce que ça vaut. A chacun de faire selon sa personnalité, sa manière, ses gouts. Photos, schémas, dessins, collages, plans... tout est possible. A vous de jouer, les Barb'arts !
Enlever toutes les scories, être dans l’instant présent.
Donner confiance à l’autre.
Musique. L’arrivée des êtres. Déjà l’émotion. Les regards. Les corps se touchent, se mettent en mouvement. La force de la présence.
Être pleinement à ce que l’on fait, sans distance, être son acte.
Sinon, ils rient. C'est triste. C’est terrible, cette difficulté à être présent, simplement, sans gêne, sans honte.
Encore frileux pour tous, la peur du mouvement, de l’espace. Petits escargots fragiles et touchants. Le lâcher-prise, toujours, se laisser aller, ô combien difficile, être soi sans ce décalage destructeur du rire. Destructeur de toute émotion et de toute beauté.
Tous ensemble. C’est beau ! Une belle écoute. La beauté du collectif, le mouvement sur la musique.
Consigne : groupes de quatre. Raconter un souvenir émotionnellement très fort.
Mettre en scène l’un des quatre souvenirs. Une entrée/une sortie.
À partir du moment où l’autre est sincère - retrouver la sincérité et l’intime.
Une mise en scène c’est toujours une subjectivité, un point de vue.
Une histoire commence. La magie du théâtre : on a envie de connaitre la suite.
Retrouver la simplicité, la vérité du vécu, de la première fois, l’intensité, sans second degré.
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