L’Homme de Vitruve (ou le proporzioni del corpo umano secondo Vitruvio en italien, les proportions du corps humain selon Vitruve ) est un célèbre dessin annoté, réalisé vers 1490 à la plume, encre et lavis sur papier, par Léonard de Vinci (1452-1519), d'après une étude de l’important traité d'architecture antique De architectura ( Au sujet de l’architecture ) rédigé en -15 par l'architecte ingénieur romain Vitruve (v-90-v-20), et dédié à l’empereur romain Auguste. Célèbre représentation des proportions idéales parfaites du corps humain parfaitement inscrit dans un cercle (centre : le nombril) et un carré (centre : les organes génitaux) (symbolique du cercle et du carré), l'Homme de Vitruve est un symbole allégorique emblématique de l’Humanisme, de la Renaissance, du rationalisme, de « L'Homme au centre de tout / Homme au centre de l’Univers », de la mesure et de la représentation du monde.
Eh ! eh ! eh ! Ils ne se refusent rien, nos poulpinots ! Mercredi : direction Saigon (via le Grand R à La Roche-sur-Yon...). Petits rappels : Le car part à 18h15. RDV au moins 5 minutes avant dans le forum. La durée du spectacle, qui commence à 19h30, est de 3h05 avec entractes. Externes et DP, pensez à apporter un pique-nique. Il sera fourni aux internes.
Ovationné par le public et la critique, Saigon fut l’un des moments forts du Festival d’Avignon 2017. Une grande fresque sentimentale revenant sur 40 ans de relations franco-vietnamiennes : tout un monde d’émotions.Saigon, c’est bien sûr le nom que portait Hô-Chi-Minh-Ville avant d’être rebaptisée. Mais c’est aussi le nom du restaurant vietnamien qui s’ouvre à nous dans le décor hyperréaliste du spectacle mis en scène par Caroline Guiela Nguyen. Cuisine à main gauche, tables et chaises métalliques au centre, espace pour chanter à main droite. Au sein de ce lieu foisonnant se croisent toutes sortes de présences et de souvenirs : fantômes du passé et témoins du présent qui portent en eux les blessures d’existences marquées par la guerre, l’amour, l’exil.
De la France de 1996 au Vietnam de 1956, Saigon éclaire petites et grande histoires dans un récit choral à fleur de peau. Un peu comme dans un film du cinéaste hongkongais Wong Kar-wai, on est emportés dans un monde à la fois rugueux et sensible, poignant et hypnotique. Ce monde — ici incarné par des comédiens français et vietnamiens, professionnels et amateurs — est peuplé de visages, de corps, de langues, de voix qui donnent à entendre la rumeur instante des oubliés et des invisibles. (sources : Grand R)
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