Accéder au contenu principal

Lettre n°15 : Maëllis

Et voici la dernière lettre (en tous cas la dernière de celles dont les auteurs ont accepté la publication, sinon, il y en a bien d'autres, qui ont voyagé par la poste uniquement). Il s'agit de celle de Maëllis, à la fois théâtreuse et CAAtiste (je sais, ce n'est guère heureux comme dénomination...). Une bien belle lettre pour clore une bien belle série... Et, dès demain, commence notre nouveau feuilleton, une nouvelle saison de notre série maintenant culte, réalisée par notre grand maître Juju : LES INDICES ! A demain donc, public aussi nombreux que fidèle de ce blog !
Enseignement d’exploration création Activité Artistiques (CAA)
Art du spectacle
CHALLANS
Maëllis Pontoizeau
16, rue des Iris
85300 LE PERRIER
Au groupe de théâtre
Challans, Le 1 juin 2018
Chers groupes de théâtre, régie, musique-scène et professeurs,
Moi (Couince, metteur en scène de la pièce dédiée au mariage d’Hyppolita et de Thésée, en clair Maëllis), je vous adresse cette lettre pour d’abord vous dire merci pour cette année unique, vous dire que je vous aime très fort et que je n’oublierai jamais cette année passée ensemble, ces moments délicieux que l’on n’a pas envie de voir finir.
Sachez que grâce à vous j’ai pu vivre des moments de totale éclate, j’ai pu dépasser certaines limites dont le vertige, la timidité ou encore l’autorité que je devais jouer. Mais, surtout, ce que je suis loin d’oublier c’est cette amitié qui a évolué. Certes il y a eu de la pression, dûe aux différentes représentations, mais ça n’a fait que renforcer notre amitié, notre complicité.
Je n’oublierai jamais aussi vos particularités, qui distinguaient chacun de nous dans le groupe. Je parle par exemple du duo Maxime-Émeline dans leur rôle d’hôtesse de l’air à chaque sortie qui nécessitait un bus. Soline et ses yeux qui forment des étoiles à chaque fois qu’elle parle de régie. Enfin je pourrais tous vous énumérer avec la particularité qui vous est dédiée qui fera que je ne vous oublierai jamais.
Je crois que grâce à cette année de théâtre j’ai vraiment retrouvé l’amusement, le fait de ne pas penser à autre chose qu’à l’instant présent.
En fait cette lettre devrait se traduire en un seul mot MERCI, tout en vous disant à très bientôt les Sangsues, vous allez me manquer « tous tant que vous êtes et répétez vos rôles ! ».
Maëllis  

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

A quoi ressemblait un théâtre au XVIIème siècle ?

Voici quelques documents pour vous faire une idée de ce que pouvait être l'hôtel de Bourgogne au XVIIème siècle, à l'époque où vivait le véritable Cyrano de Bergerac :

D'où vient l'expression "être le sosie de quelqu'un" ?

Le saviez-vous ? « Être le sosie de quelqu’un » nous vient de la mythologie. Pour séduire Alcmène, de qui naîtra Hercule, Jupiter prit l’apparence de son mari Amphitryon (parti à la guerre). Pour parfaire la tromperie, Mercure (le fils de Jupiter) prit les traits de l’esclave de son mari, nommé Sosie. La ressemblance fut si parfaite qu’on ne put les distinguer l’un de l’autre, ce qui entraîna de nombreux quiproquos. L’expression signifie avoir une parfaite ressemblance avec quelqu’un. Alcmène croit retrouver son époux Amphitryon : erreur ! d'après D'où viennent ces expressions ? http://www.cndp.fr/crdp-creteil/telemaque/comite/mythologie-expressions.htm

L'homme de Vitruve

L’Homme de Vitruve (ou le proporzioni del corpo umano secondo Vitruvio en italien, les proportions du corps humain selon Vitruve ) est un célèbre dessin annoté, réalisé vers 1490 à la plume, encre et lavis sur papier, par Léonard de Vinci (1452-1519), d'après une étude de l’important traité d'architecture antique De architectura ( Au sujet de l’architecture ) rédigé en -15 par l'architecte ingénieur romain Vitruve (v-90-v-20), et dédié à l’empereur romain Auguste. Célèbre représentation des proportions idéales parfaites du corps humain parfaitement inscrit dans un cercle (centre : le nombril) et un carré (centre : les organes génitaux) (symbolique du cercle et du carré), l'Homme de Vitruve est un symbole allégorique emblématique de l’Humanisme, de la Renaissance, du rationalisme, de « L'Homme au centre de tout / Homme au centre de l’Univers », de la mesure et de la représentation du monde.