Voici donc le coup de cœur de Louise. Elle en a un grand (cœur), il y a de la place pour y mettre plein de choses. La preuve :
Le commencement jusqu'à l'étincelle de la réussite
Après mûre réflexion, je me rends compte qu'il m'est impossible de choisir un moment en particulier de cette année de CAA. Chaque seconde passée avec ces merveilleuses personnes me donnait force, énergie et courage pour la suite, mais toute chose a une fin. C'est pourquoi je vais parler de l'année dans son intégralité, dans tout ce qu'elle a de plus admirable et de remarquable.
Le premier cours arrive. Tout le monde se regarde du coin de l’œil en se disant « est-ce que je pourrai bien m'entendre avec elle/lui ? ». Je connais peu de personnes, mais je me rassure en me disant que j'ai sûrement bien fait de choisir cet enseignement d'exploration.
Les cours passent, on apprend de multiples choses sur le monde du spectacle, les intervenants viennent et repartent, nous parlent de leur métier ou du spectacle vivant, puis la distribution des missions se fait. The main thing, comme on dit, ce qui va aider à la création du spectacle, l'affiche, les programmes, les flyers et tout ce qui s'en suit. La pression commence à s'installer car il faut bien faire, et surtout être prêts à temps. Les représentations approchent à grands pas. Membres de l'enseignement d'exploration, régisseurs, comédiens, tous souhaitent faire de leur mieux.
D'ailleurs, comment parler de CAA sans parler de théâtre ? Puis comment parler de théâtre sans parler de résidence ? Manger, travailler, manger, dormir, travailler. Des larmes, des plaintes, des cris, des rires puis encore des larmes. La fatigue, le stress, l'acharnement, la sueur, mais surtout l’exigence des professeurs. C'est pourtant ce qui nous mène à une extraordinaire représentation. La solidarité, le soutien et l'entraide, nous sommes avant tout une grande famille, ou même une « secte » (certains comprendront) qui avance vers l'étincelle de la réussite.
Louise Mortier- CAA1, option théâtre
Commentaires